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Ostéoporoses secondaires et ostéoporose cortisonique.

Auteurs : Orcel P1, Krane SM
Affiliations : 1Fédération de Rhumatologie, Centre Viggo-Petersen, Hôpital Lariboisière, 6, rue Guy-Patin, 75475 Paris Cedex 10.
Date 2000 Octobre, Vol 151, Num 6, pp 497-503Revue : Annales de médecine interneType de publication : étude comparative; article de périodique; revue de la littérature;
Résumé

Une enquête clinique simple permet de porter le diagnostic d'ostéoporose et de déterminer les causes potentielles de la perte osseuse. Pendant longtemps, une déminéralisation vertébrale était considérée comme le premier signe d'ostéoporose. Actuellement, le diagnostic d'ostéoporose est porté souvent chez un patient présentant une faible masse osseuse dépistée lors d'une absorptiométrie (DEXA). Avant d'envisager un traitement spécifique dans de tels cas, il est important de rechercher une ostéoporose secondaire, surtout chez les hommes car les causes secondaires y sont plus fréquentes que chez les femmes. Les causes les plus fréquentes sont la corticothérapie prolongée et les maladies endocriniennes (hypogonadisme, hyperparathyroïdie primitive, hyperthyroïdie) ou digestives.

Mot-clés auteurs
Chimiothérapie; Corticostéroïde; Diagnostic; Etiologie; Femelle; Homme; Mâle; Ostéoporose; Secondaire; Toxicité;
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
 Source : MEDLINE©/Pubmed© U.S National Library of Medicine
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Citer cet article
Orcel P, Krane S M. Ostéoporoses secondaires et ostéoporose cortisonique. Ann Med Interne (Paris). 2000 Oct;151(6):497-503.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 23/08/2017.


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