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Modalités thérapeutiques d’une maladie abortive d’origine dysimmunitaire (syndrome des antiphospholipides primitif)

Auteurs : Carbonne B1, Lejeune V1
Affiliations : 1Groupe Arpège (association de recherche sur les pertes fœtales et échecs de grossesse), hôpital Saint-Antoine, 184, rue du Faubourg-Saint-Antoine, 75012 Paris, France
Date 2003 Septembre, Vol 31, Num 9, pp 789-793Revue : Gynécologie, obstétrique & fertilitéType de publication : article de périodique; revue de la littérature; DOI : 10.1016/S1297-9589(03)00210-8
Journée thématique de la SFEF (Paris, 2003)
Résumé

La maladie abortive est une des manifestations cliniques du syndrome des antiphospholipides (SAPL) primitif. Les traitements proposés initialement, corticoïdes ou immunoglobulines, avaient pour but de moduler ou d’inhiber la réponse immunitaire maternelle. Puis, devant l’évolution de la connaissance physiopathologique du SAPL, dont les conséquences sont essentiellement liées à des processus thrombotiques, l’attitude thérapeutique s’est tournée vers des traitements anti-agrégants plaquettaires et anticoagulants. Actuellement, l’association d’aspirine et d’héparine de bas poids moléculaire, dont l’efficacité a été démontrée par plusieurs essais randomisés, est le traitement de référence des fausses couches spontanées liées au SAPL.

Mot-clés auteurs
Avortement spontané répété; Antiphospholipides; Aspirine; Héparine;
 Source : Elsevier-Masson
 Source : MEDLINE©/Pubmed© U.S National Library of Medicine
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Citer cet article
Carbonne B, Lejeune V. Modalités thérapeutiques d’une maladie abortive d’origine dysimmunitaire (syndrome des antiphospholipides primitif). Gynecol Obstet Fertil. 2003 Sep;31(9):789-793.
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Dernière date de mise à jour : 27/11/2015.


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