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Entérobiase pelvi-génitale - À propos de trois cas

Auteurs : Khabir A, Makni S1, Khmiri H2, Gheriani M1, Rekik S2, Boudawara TS1
Affiliations : 1Laboratoire d’Anatomie et de Cytologie Pathologiques, EPS Habib Bourguiba, 3029 Sfax, Tunisie2Service de Gynécologie, EPS Hedi Chaker, 3029 Sfax, Tunisie
Date 2005 Avril, Vol 34, Num 2, pp 162-165Revue : Journal de gynécologie, obstétrique et biologie de la reproductionType de publication : présentations de cas; article de périodique; DOI : 10.1016/S0368-2315(05)82708-5
Fait clinique
Résumé

Les localisations ectopiques de l’oxyurose sont rares et souvent asymptomatiques. Elles ont été rapportées au niveau utérovaginal, tubo-ovarien et pelvi-peritonéal ; à ces endroits, l’entérobiase est responsable d’un granulome inflammatoire pseudo-tumoral. Notre objectif est de dégager les particularités étiopathogéniques et cliniques de cette affection rare. Nous rapportons un cas d’entérobiase endométriale survenu chez une femme de 28 ans et deux cas de pseudotumeurs inflammatoires tubo-ovariens sur œufs d’oxyures, diagnostiqués chez des femmes âgées respectivement de 28 et 38 ans et hospitalisées pour masse latéro-utérine. L’enterobius vermicularispeut être responsable d’une pseudotumeur inflammatoire tubo-ovarienne dont l’efficacité d’un traitement anti-parasitaire est clairement établie.

Mot-clés auteurs
Enterobius vermicularis; Granulome pseudo tumoral; Pathologie génitale;
 Source : Elsevier-Masson
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
 Source : MEDLINE©/Pubmed© U.S National Library of Medicine
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Citer cet article
Khabir A, Makni S, Khmiri H, Gheriani M, Rekik S, Boudawara TS. Entérobiase pelvi-génitale. J Gynecol Obstet Biol Reprod (Paris). 2005 Avr;34(2):162-165.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 22/08/2017.


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