Affiliations : 1UFR de médecine Pierre-et-Marie-Curie, université Pierre-et-Marie-Curie–Paris-6, 75005 Paris, France2Inserm, centre de recherche des Cordeliers, UMR S 872, université Pierre-et-Marie-Curie–Paris-6 et Paris-Descartes, 75006 Paris, France3Service de chirurgie plastique reconstructrice et esthétique, cabinet médical Le-Louarn, 59, rue Spontini, 75116 Paris, France
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4UFR de médecine Paris–Diderot, université Paris–Diderot-7, 75205 Paris, France
La réalisation d’une classique plastie en Z en terrain cicatriciel séquelle de brûlure se solde parfois par une nécrose plus ou moins importante des pointes des lambeaux transposés lorsque le tissu brûlé est nettement prédominant. Les données actuelles de la littérature n’apportent pas de réponses pratiques à ce problème hormis d’éviter en toute logique la réalisation des plasties en Z quand la grande majorité du tissu est cicatriciel. Il existe des situations intermédiaires dans lesquelles l’indication de la plastie en Z peut être retenue. Dans ces cas, il est possible d’améliorer la survie des pointes de Z transposées en supprimant toute tension sur la pointe des Z par une traction portant d’abord sur la base et en réalisant une taille particulière de la pointe qui améliore la vascularisation dermique défaillante.
Mot-clés auteurs
Plastie en Z; Basse tension; Vascularisation; Séquelle brûlure;