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Quand la saison devient synonyme de dépression.

Auteurs : Gagné AM1, Bouchard G, Tremblay P, Sasseville A, Hébert M
Affiliations : 1Centre de recherche Université Laval Robert-Giffard, Université Laval, département d'ophtalmologie, 2601, de la Canardière, F4500 Québec G1J 2G3, Canada.
Date 2010 Janvier 10, Vol 26, Num 1, pp 79-82Revue : Médecine sciencesType de publication : article de périodique; revue de la littérature; DOI : 10.1051/medsci/201026179
Résumé

Bien que les médecins et les psychiatres recon- naissent de plus en plus la réalité du trouble affectif saisonnier (TAS), l'étiologie de ce mal reste encore obscure. Tout ce qu'on peut affirmer à propos de cette pathologie, c'est l'existence d'un lien entre la baisse de luminosité ambiante à partir de l'automne puis au cours de l'hiver et l'ap- parition de symptômes dépressifs. Mais pourquoi cette diminution de luminosité rend-elle certaines personnes dépressives et pas d'autres ? Pourquoi et comment l'exposition au soleil peut-elle affecter la régulation de l'humeur par le cerveau ? Cet article propose de faire la lumière sur les principales hypothèses neurochimiques avancées au cours des vingt-cinq dernières années. Il souligne également l'importance de la mélatonine, de la sérotonine et des catécholamines dans la physio-pathologie du TAS.

Mot-clés auteurs
Article synthèse; Catécholamine; Etat dépressif; Etiologie; Facteur milieu; Homme; Luminosité; Mélatonine; Saison; Sérotonine; Variation saisonnière;
 Source : EDP Sciences
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
 Source : MEDLINE©/Pubmed© U.S National Library of Medicine
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Gagné A, Bouchard G, Tremblay P, Sasseville A, Hébert M. Quand la saison devient synonyme de dépression. Médecine sciences. 2010 Jan 10;26(1):79-82.
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Dernière date de mise à jour : 22/11/2017.


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