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Sur la technique des biopsies musculaires (II). Analyse de l’innervation motrice terminale et des plaques motrices en pathologie humaine

Auteurs : Fardeau M1, Bauché S1, Hantaï D1
Affiliations : 1Unité de Morphologie Neuromusculaire (Division Risler), Institut de Myologie, Hôpital de la Pitié-Salpêtrière, 75013 Paris, France
Date 2016 Juin 11, Num 13, pp 7-10Revue : Les Cahiers de MyologieDOI : 10.1051/myolog/201613002
Résumé

L’analyse de l’innervation motrice terminale (IMT) a marqué un premier virage majeur dans l’analyse des biopsies musculaires, jusque là examinées sur coupes en paraffine et colorations histologiques classiques. Ce fut dès 1952, essentiellement grâce aux travaux de Christian Coërs, bientôt suivi par A.L. Woolf [1] utilisant des colorations vitales au Bleu de Méthylène. Ces travaux, entrepris sous l’inspiration de J.G. Greenfield, avaient pour but de mieux différencier les atteintes neuropathiques des atrophies par non-utilisation, ou par cachexie, et des atteintes myopathiques. Ces travaux ont précédé de plusieurs années l’application aux biopsies humaines des techniques cytochimiques et cytoenzymologiques ainsi que les premières études en microscopie électronique.

Des descripteurs MeSH seront prochainement assignés à cet article.

 Source : EDP Sciences
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Fardeau M, Bauché S, Hantaï D. Sur la technique des biopsies musculaires (II). Analyse de l’innervation motrice terminale et des plaques motrices en pathologie humaine. Cah. Myol.. 2016 Juin 11;(13):7-10.
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Dernière date de mise à jour : 22/11/2017.


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