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Hydratation artificielle chez les patients en fin de vie

Auteurs : Weber C, Ducloux D1, Déramé L1, Pautex S2
Affiliations : 1Équipe mobile antalgie et soins palliatifs, service de médecine palliative, hôpitaux universitaires de Genève, hôpital de Bellerive, 11, chemin de la Savonnière, 1245 Collonge-Bellerive, Suisse2Unité de soins palliatifs communautaires, service de médecine de premier recours, FSASD, hôpitaux universitaires de Genève, 36, avenue Cardinal-Mermillod, 1227 Carouge, Suisse
Date 2013 Février, Vol 13, Num 73, pp 41-44Revue : NPG Neurologie - Psychiatrie - GériatrieType de publication : revue de la littérature; DOI : 10.1016/j.npg.2012.10.001
Pratique clinique
Résumé

La diminution des apports liquidiens oraux chez les patients cancéreux ou souffrant d’une autre maladie chronique avancée en fin de vie est un phénomène extrêmement fréquent et peut être une importante source d’anxiété pour le patient, sa famille ou les soignants. Une fois que toutes les mesures possibles pour améliorer la prise orale ont été tentées, se pose alors souvent la question d’introduire une hydratation artificielle pour laquelle les réponses divergent. Certains considèrent l’hydratation comme un traitement dont il est possible de s’abstenir ou de l’arrêter au même titre qu’un autre, alors que d’autres estiment que l’hydratation est un besoin fondamental à maintenir en toute circonstance. Les différents arguments participant à la décision d’introduire ou non une hydratation en fin de vie sont discutés.

Mot-clés auteurs
Fin de vie; Hydratation artificielle; Prise de décisions;
 Source : Elsevier-Masson
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
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Weber C, Ducloux D, Déramé L, Pautex S. Hydratation artificielle chez les patients en fin de vie. NPG Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie. 2013 Fév;13(73):41-44.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 23/08/2017.


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