Brèche accidentelle de la dure-mère : Conduite à tenir au bloc opératoire ou en salle de travail
Auteurs : LAFFON M1, FERRANDIERE M1, GALITIER T1, JABER W1, LEROY G1Affiliations : 1Département d'Anesthésie-Réanimation, CHU de Tours, France
Date 1997, Vol 45, Num 4, pp 261-264Revue : Cahiers d'anesthésiologieRésumé
Lors de la création d'une brèche duremérienne accidentelle, la conduite à tenir va dépendre essentiellement au contexte clinique, obstétrical ou non, et de l'âge du patient. Trois techniques peuvent être alors réalisées : l'anesthésie géneraie, la rachianesthésie continue, ou une nouvelle anesthésie péridurale. En obstétrique, l'incidence des céphalées après brèche duremérienne est elevée, en moyenne de 80%. C'est pourquoi, dans ce contexte, si une nouvelle ponction péridurale a été réalisée, il faut pratiquer un blood patch prophylactique (à la fin ce la procédure chirurgicaie ou obstétricale).
Mot-clés auteurs
Accouchement; Anesthésie régionale; Bloc opératoire; Colmatage sanguin péridural; Complication; Conduite à tenir; Céphalée; Douleur; Dure mère; Femelle; Homme; Obstétrique; Perforation; Travail; Voie extradurale;
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LAFFON M, FERRANDIERE M, GALITIER T, JABER W, LEROY G. Brèche accidentelle de la dure-mère : Conduite à tenir au bloc opératoire ou en salle de travail. Cah Anesthesiol. 1997;45(4):261-264.