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Nul ne peut être abattu in abstentia ou in effigie

Auteurs : BALDACCI JDate 2013, Vol 77, Num 5Revue : Revue française de psychanalyse
Résumé

Pour la question « Surmoi et meurtre du père », le propos essaie de montrer, à partir de la clinique, que la concentration sur le père fait de l'étape « meurtre » une étape nécessaire. Elle permettrait la transformation d'une destructivité qui ne concerne pas uniquement le père. En impersonnalisant le surmoi, cette étape organiserait un nouveau rapport structurel au sein du moi, capable de traiter les paradoxes de la problématique identificatoire. La question est de savoir comment, dans la situation analytique, l'analyste survit au « meurtre » ou, en d'autres termes, à quelles conditions patient et analyste parviennent à renoncer à l'agir et au contre-agir. Les conditions et modalités de l'interprétation sont particulièrement interrogées.

Mot-clés auteurs
Adulte jeune; Cadre thérapeutique; Cure psychanalytique; Etude cas; Femme; Interprétation psychanalytique; Meurtre; Parole; Rêve; Surmoi;
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
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BALDACCI J. Nul ne peut être abattu in abstentia ou in effigie. Rev Fr Psychanal. 2013;77(5).
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Dernière date de mise à jour : 23/08/2017.


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